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207
Vers 1935 - Rue des Canards.
Berthe (1915), fille d'Aloyse Koch père (1887), fait rentrer les cochons.
(collection Salomé Koch-Spenle)
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208
Vers 1938 - 23 rue de la Vallée.
A gauche : Eugène Scherrer. Au centre : un marchand de bestiaux. A droite : Pierre Maire, époux de Lucie Scherrer.
(collection Fernande Gavillot-Scherrer)
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209
1954 - 49 rue Clemenceau.
Un cochon se promène dans la cour.
(collection Gérard Brauneisen)
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Vers 1947 - 49 rue Clemenceau.
Une truie et ses petits. Adultes de gauche à droite : Eugène Brauneisen, Alban
Otter,
prisonnier de guerre allemand, Agathe Brauneisen. Les enfants : Annie et Gérard
Brauneisen.
(collection Gérard Brauneisen)
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211
1936 - 4 rue du Mal Foch.
Émile Kempf parquait ses cochons sur un pré clôturé situé à l'emplacement du petit immeuble HLM, 4 rue du Mal Foch.
(collection Bermard Peterschmitt)
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212
1936 - 117 rue Clemenceau.
Caroline, cette truie d'Émile Kempf, a obtenu le grand prix à l'exposition de Colmar.
(collection Bermard Peterschmitt)
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213
1916-1917.
Une profession qui existait dans chaque village : d'r Soïmetzger, le tueur de cochon.
A Wintzenheim, c'était la famille Joseph Bouillon qui détenait le monopole.
De gauche à droite : Laurent et Joseph Bouillon découpent le cochon, tandis
que Marie apprête les boyaux qui serviront à la confection des saucisses.
(collection Irène Goffelmeyer-Bouillon)
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214
1956 - 16 rue des Laboureurs.
Le boucher attrape le cochon pour l'attacher. De gauche à droite : Pierre et Michel Dirninger, Roman Sutter,
Joseph Bouillon, Jean-Paul Baumann.
(collection Jean-Paul Baumann)
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215
1956 - 16 rue des Laboureurs.
Le boucher Joseph Bouillon assomme le cochon d'un coup sec. De gauche à droite : Joseph Dirninger, Jean-Paul Baumann,
Michel Dirninger. De dos : Pierre Dirninger.
(collection Jean-Paul Baumann)
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216
1956 - 16 rue des Laboureurs.
Raymond et Michel Dirninger entourent la carcasse du cochon suspendue à l'échelle.
(collection Jean-Paul Baumann)
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Vers 1955 - 44 rue Clemenceau.
Dans la cour du Café Américain. Une fois tué, on suspend le cochon à l'échelle par les tendons des pattes arrières,
puis on procède à l'éviscération et à la récupération des abats. On reconnaît Monique Haderer et Joseph Bouillon.
(collection Monique Bollecker-Haderer)
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Vers 1958 - 44 rue Clemenceau.
Au Café Américain. Après l'abattage, on laisse reposer et refroidir la carcasse qui ne
sera découpée que le lendemain. Ce sont les femmes qui prépareront les cochonnailles, boudins et autres saucisses.
De gauche à droite : Robert Bouillon, Monique Haderer, deux clients du restaurant, Émile qui travaillait chez des viticulteurs du
village, Antoinette Eichholtzer de Paris, et Elisa Haderer, la maman de Monique.
(collection Monique Bollecker-Haderer)
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